Après avoir géré un incubateur, en qualité de project manager, mes différents échanges professionnels constituent autant d’invitations à ce partage d’expérience.
C’est à travers ce papier donc que j’aborde des questions telles que l’acculturation à l’innovation ou les différences culturelles entre des startups et l’entreprise qui les incube. J’y reviens également sur les synergies à développer au sein de l’incubateur ainsi qu’une approche efficace pour passer à l’échelle sereinement.
Afin de vous donner un aperçu du texte, voici un extrait sur une problématique récurrente : l’implication des métiers interne.
« L’erreur la plus commune des start-ups est de croire que si sa solution est user-centric (qu’elle comble le besoin d’un utilisateur final) et donc à forte désirabilité client, le métier suivra. Or, la logique doit être inverse : le premier chainon qui doit être séduit par la solution doit être le métier interne à l’Entreprise, afin de se rapprocher des autres parties prenantes. C’est donc à la start-up de le séduire et de le convaincre , afin de s’en faire un allié pour pouvoir impliquer les fonctions transverses (DSI, Communication, Juridique) et in fine, vendre la solution à l’utilisateur final.
Quel est donc le meilleur moyen pour que le métier ne soit pas réfractaire à travailler avec une start-up ? La réponse peut sembler simple, mais est rarement appliquée : c’est lui qui doit être (directement ou indirectement) à la genèse des projets.
Avant de se lancer dans le recrutement de start-ups, il faut donc recueillir le besoin des utilisateurs finaux et métiers, trouver des synergies et des sponsors. »
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